Medorrhinum : remède de fond contre les infections chroniques et récidivantes

La blennoragie ou gonoccocie est une infection vénérienne causée par la bactérie Neisseria gonorrhoée. Medorrhinum, un médicament homéopathique issu de la biothérapie, est conçu à partir des sécrétions urétrales purulentes blennorragiques gonoccociques de malades qui n’ont pas encore été soignés. C’est un remède de fond contre des infections récidivantes ou chroniques, ayant des points communs avec certains symptômes de la blennoragie.
Dans quels cas prescrire Medorrhinum ?
Ce remède agit contre :
- les infections ORL et respiratoires : otite, sinusite, asthme consécutif à une vaccination, problèmes respiratoires chroniques,
- les infections génitales et urinaires : verrue (condylome), herpès, leucorrhée purulente, urétrite gonococcique,
- certaines pathologies dermatologiques : verrue, eczéma suintant, herpès buccal, érythème fessier du nourrisson inflammatoire,
- les rhumatismes : arthrite infectieuse, raideurs et douleurs articulaires,
- certains troubles psychiques : état dépressif ou obsessionnel.
Medorrhinum est particulièrement indiqué lorsque les symptômes sont aggravés en position couchée ventrale, genoux proches de la poitrine, et améliorés par le mouvement.
Quels sont les conseils d’utilisation de Medorrhinum ?
Les formes galéniques de Medorrhinum sont : doses de globules, granules et poudre.
La posologie et la dilution font l’objet d’une prescription médicale après diagnostic. Elles varient suivant la pathologie à soigner et le profil du patient. Éviter pendant la grossesse et l’allaitement.
Medorrhinum est proche du traitement Mercurius solubilis pour la sphère ORL, urinaire, cutanée.
Les excipients des doses, des granules et des poudres sont du lactose ou du saccharose. Informer le médecin en cas d’intolérance à ces composants.
Le traitement doit être pris en dehors de repas et à distance d’une consommation de café, tabac ou thé.
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Toujours prendre l’avis d’un professionnel de santé car l’automédication peut entraîner des risques. Ne pas prolonger le traitement homéopathique si aucune amélioration et demander aussi le conseil d’un praticien allopathique.